Comment parler des choses de l’environnement sans être clivants envers les récalcitrants

Vous rencontrerez toujours des personnes, dans votre entourage ou occasionnellement, qui sont coincées dans un déni systématique de l’urgence écologique et environnementale. Soit par peur d’affronter ces changements, soit par posture sociale ou politique, soit par désintérêt égocentrique, ou toute autre cause.
Alors lisez cet article qui peut vous aider à transcender ces difficultés de communication avec autrui. Mais n’oubliez pas de rester libres dans vos opinions. Ne soyons pas lié.e.s à un dogmatisme qui peut se retourner contre nous. Envisageons toutes les explications scientifiques cohérentes pour éviter justement ces clivages sociaux. Parce qu’il y a beaucoup de désinformations ou de surenchères opportunistes dans les médias et les partis politiques, quels qu’ils soient.

Un exemple : la frénésie carbone dans laquelle se sont engouffrés les gouvernants et la finance pour rebondir avec encore plus de revenus à la clé, alors que le capitalisme devenait moribond.

Voici donc des extraits de cet article du média internet "Vert"

Pour éviter le dialogue de sourds, ne vous laissez pas enfermer dans une case : vous n’êtes pas le ou la porte-parole de la communauté scientifique, des militant·es pour le climat ou d’une quelconque « élite politique », et vous n’êtes pas astreint·e à une « pureté » dans vos actes, qui est toujours inatteignable.
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Les discours pontifiants, moralisateurs et clivants, on l’a vu, ne marchent pas. Plutôt que de déverser ses connaissances en matière de climat et de recul de la biodiversité, une bonne dose d’humilité s’avère souvent plus efficace. Pour que le message passe mieux, on peut parler de ce que l’on fait, soi-même, pour la planète.....
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Le réchauffement, ça fait peur. Et l’éco-anxiété touche de plus en plus de monde.

Quand les discussions en famille atteignent le continent incertain et risqué des émotions (fortes), pas de panique. « On a souvent l’idée que l’éco-anxiété conduit systématiquement au découragement, à la sidération. Ce n’est pas vrai. Il s’agit d’une émotion dite “adaptative”, qui pousse dans la majorité des cas à l’action », indique Lucas Francou Damesin, de Parlons climat.

Tout l’article est ici :
https://vert.eco/articles/comment-convaincre-ses-proches-de-lurgence-ecologique