Comité Écologique Ariégeois

Association départementale agréée de protection de l'environnement en Ariège

La guerre c’est le massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas. (Paul Valéry- Gallimard - Cahiers)

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jeudi 2 février 2023

On en rit encore

(quoiqu’un peu "jaune" parfois)

Voilà un article sans prétention particulière sauf de relever par-ci-par là, des situations, des lectures, des aspects du monde de l’environnement (ou d’ailleurs) qui prêtent à sourire.
Tout apport dans ce sens sera le bienvenu en nous rapportant les faits qui seront, selon l’humeur des administrateurs ;) publiés ici...

MàJ du 2 février

MàJ du 2 février 2023 - Une adhérente nous envoie ces supports de rire que sont les "mots" de Desproges, une photo étonnante et d’autres pointes d’humour...

Covoiturage

D’autres jeux de mots :

Quelle est la différence entre une pioche, un pull et une semaine ?
La pioche a un manche, le pull a deux manches et la semaine a dimanche.

Quelle est la différence entre le temps et l’éternité ?
Si je prenais le temps de te l’expliquer, il faudrait une éternité pour que tu la comprennes.

Quelle est la différence entre Paris, un ours blanc et Virginie ?
Paris est métropole, l’ours blanc est maître au pôle et Virginie aimait trop Paul...

Quelle est la différence entre une girouette et un horloger ?
La girouette montre les vents et l’horloger vend les montres.

Quelle est la différence entre un enfant qui fait des bêtises et un sapin de Noël ?
Aucune ! Les deux se font enguirlander.

Quelle est la différence entre une poule et un chapon ?
Une poule, cha’pond ; un chapon, cha’pond pas.

Quelle est la différence entre la lettre A et le clocher de l’église ?
La lettre A, c’est la voyelle et le clocher, c’est là qu’on sonne.

Quelle est la différence entre un cendrier et une théière ?
Le cendrier c’est pour des cendres, la théière c’est pour mon thé..

Pourquoi dit-on qu’il y a Embarras de voitures quand il y en a trop et Embarras d’ argent quand il n’ y en a pas assez ?

Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la Terre alors qu’elle est ronde ?

Quand un homme se meurt, on dit qu’il s’éteint.
Quand il est mort, on l’appelle feu

Pourquoi dit-on d’un pauvre malheureux, ruiné et qui n’a même plus un lit dans lequel se coucher, qu’il est dans de beaux draps ?
Et celui qui a des ennuis judiciaires dans de sales draps, même s’il les change tous les jours...

Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes vous disent à la fois : je viens de louer un appartement ?

Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d’avoir couru ?

Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?

On passe souvent des nuits blanches quand on a des idées noires.
Pourquoi faut-il en mettre de l’argent de côté quand on veut en avoir devant soi ?

Pourquoi dit-on que "les avis sont partagés "lorsque vous ne partagez pas
l’avis d’autres personnes.

Réjouissons-nous car ce sont les meilleurs crus qui donnent les plus fortes cuites !


Date indéterminée : Le galimatias de l’administration est-elle le produit d’incompétences, de langage d’initiés ou d’une volonté d’écœurer le citoyen lambda afin d’être tranquilles derrière leur bureau et laisser courir ?

Une seule même phrase pour on-ne-sait quelle information ? :

S’il appartient aux seules autorités compétentes de déterminer, parmi
l’ensemble des mesures qui sont susceptibles d’être prises. celles qui sont les mieux à même d’assurer le respect des obligations qui leur incombent et si le refus de prendre une mesure déterminée ne saurait en principe être regardé comme entaché d’illégalité au seul motif que la mise en œuvre de cette mesure serait susceptible de concourir au respect de ces obligations, le refus de prendre une mesure déterminée est illégal dans l’hypothèse où l’édiction de cette mesure se révèle nécessaire au respect des obligations qui s’imposent aux autorités compétentes et où l’abstention de la prendre fait obstacle à ce qu’elles puissent être respectées.

Un autre texte, énoncé par le gouvernement devant le Sénat, à propos des STECAL (Secteurs de taille et capacité d’accueil limitées) qui sont des zones agricoles, naturelles ou forestières de taille limitée (qui peuvent atteindre une dizaine d’ha !) que les communes désirent urbaniser sans que le mot urbanisation n’apparaisse ! Espérons que les sénateurs sont des juristes avertis avec une bonne dose de patience et de concentration :

Trois situations peuvent être distinguées : - Les zones de constructibilité limitée définies par des documents d’urbanisme approuvés après la loi ALUR : Les nouvelles conditions définies par ALUR sont applicables dès la publication de la loi. - Les zones de constructibilité limitée définies par des documents d’urbanisme approuvés entre la loi Grenelle II et l’entrée en vigueur de la loi ALUR : L’article 157 de la loi prévoit explicitement que les STECAL délimités en application de l’article L. 123-1-5 dans sa version antérieure à la loi ALUR, laquelle résulte de la loi Grenelle II, restent valables et ce jusqu’à la première révision engagée après la loi. Les secteurs ainsi définis ne sauraient être remis en cause notamment au motif qu’ils ne seraient pas exceptionnels, nouvelle condition issue par la loi ALUR. Cette disposition a été voulue par le législateur pour sécuriser juridiquement l’intégralité des PLU comportant des STECAL et approuvés avant la loi ALUR. - Les zones de constructibilité limitée identifiées dans les documents d’urbanisme locaux approuvés avant la loi grenelle II et toujours en vigueur : Il ne ressort pas de l’intention du législateur que les « STECAL » ou « pastilles » approuvés antérieurement à la loi ALUR et à la loi Grenelle II soient remis en cause par cette nouvelle rédaction du code de l’urbanisme. Les secteurs définis et approuvés avant la loi Grenelle II, laquelle n’a fait que donner valeur législative aux STECAL, sont donc également concernés par cette disposition protectrice.


28 nov. 2019 : Le blog MEDIAPARTde Yves GUILLERAULT

Les vautours des Pyrénées ont rendu hommage à Peggy la cochonne, morte de vieillesse. Ça lui a évité de faire un tour au pays des Cons.

Il était une fois (mais c’est du vécu) une cochonne en retraite sur une belle montagne des Pyrénées. Peggy, c’était son nom, cassa sa pipe, comme tout un chacun à un âge respectable.

Le paysan écolo, triste et respectueux, ne voulait pas la livrer au camion de l’équarrisseur et décida de l’offrir à mère nature face à sa montagne, comme cela se faisait il y a bien longtemps.

Un, puis deux, puis dix, puis trente magnifiques vautours fauves descendus des sommets encore enneigés lui offrirent des funérailles dignes d’elle en moins de temps qu’elle en aurait eu pour puer la mort. Les éboueurs de la montagne ont fait place nette sans bruit juste quelques froissements d’ailes.

Ils étaient nombreux à la mise en bière de Peggy.

Bilan écologique : quelques pets de vautours lâchés avec grâce au cours de la digestion dans de superbes vols planés au dessus du Montaigu.

Un chasseur passant par là, fronça du sourcil. Armé mais pas plus couillu que ça, il alla parler au voisin du paysan écolo. « Tu demanderas à ton voisin si c’est vraiment écolo de laisser une carcasse de truie au milieu du champ ! » Question que le dit voisin s’empressa d’aller poser au paysan écolo.

Ce dernier lui raconta alors le voyage que Peggy aurait pu faire au pays des Cons.

Après son trépas, Peggy la cochonne aurait été déposée auprès de la boîte à lettre de la ferme. Après un, deux... voire plusieurs jours selon son bon vouloir (voire jamais, c’est déjà arrivé), le 18 tonnes de l’équarrisseur aurait grimpé sur la montagne de Peggy, son gros cul fumant tout ce qu’il pouvait en particules fines et autres joyeusetés sorties du pot d’échappement. Il aurait emmené la dépouille loin dans la plaine jusqu’à un incinérateur carburant au gaz de pétrole et crachant un joli panache chargé de particules mortifères. Peggy serait devenue farine animale et aurait été recueillie par un autre gros cul puant, un 38 tonnes cette fois, pour être acheminée vers un élevage industriel, un camp de concentration pour poulets. Un troisième gros cul, toujours aussi polluant, aurait emmené les restes de Peggy transformés en ersatz de poulet jusqu’à un abattoir. Enfin, un dernier gros cul aurait livré son lot de poulets farinés au supermarché du coin.

Le chasseur, bredouille et ayant remisé son fusil au râtelier, aurait pris sa femme et son 4x4 tout aussi puant pour aller acheter le poulet cochonné au supermarché du coin. Il l’aurait ramené à la maison (toujours avec son 4x4... et sa femme, c’est plus pratique pour rôtir un poulet), l’aurait mangé avec un coup de gros rouge qui tache et puis l’aurait digéré, non sans quelques rôts et pets bien sentis.

Et devinez quoi ! Peggy serait ressortie par le trou du cul du chasseur pour aller se répandre sur la terre qui l’avait vue partir .

Entre un pet de vautour et une randonnée au pays des Cons, le paysan avait choisi le meilleur hommage qui soit pour Peggy la cochonne...
(Le blog MEDIAPART de Yves Guillerault)


Compte-rendu d’une réunion "officielle" au sujet de la mise en chantier de la carrière de marbre de St Lary :

6- Destruction espèces protégées libellule...(sources pétrifiantes) dossier à l’étude pour l’instant pas de réponse avant 6 mois. La Société Plo s’engage à déplacer et refaire cette source pétrifiante.

Ben voyons ! Les sources ça se déplace, ça s’arrête, ça se reprend, ça se dépétrifie, repétrifie... on n’arrête pas le progrès !



Lu dans "Les amis de la Terre" :
Appel à vigilance : "djihadistes verts"

Si parmi vos amis, certains portent un des patronymes suivants : Dubois, Dutronc, Lebranchu, Sapin, Cormier, Bouleau, Dufresne, Delorme...
Sachez garder vos distances, car ils sont fortement suspectés d’un prochain départ pour la scierie.


Le site ReporTerre et les annonces "oubliées" de F.Hollande lors des vœux 2014 :
Ici


Un décret modifiant le décret pour la protection des eaux contre la pollution au nitrate : et ce n’est pas inventé !

« A compter de la publication de l’arrêté relatif au programme d’actions national prévu au 1 de l’article R.211-81-3 du code de l’environnement et jusqu’à l’entrée en vigueur du programme d’actions régional prévu au II du même article, les programmes d’actions départementaux en vigueur à la date de publication du décret n° 2011-1257 du 10 octobre 2011 demeurent applicables et régis par les dispositions du paragraphe 2 de la sous section 3 de la section 3 du chapitre Ier du livre II du code de l’environnement dans sa rédaction antérieure au décret précité, à l’exception des dispositions prises en application du 2° du IV de l’article R.211-81 dans sa rédaction antérieure au décret précité. »

Quel galimatias ! Et tout ça pour rien parce que quand vous croyez qu’un dossier a avancé dans le bon sens, ne vous réjouissez pas, un autre décret peut subvenir pour contrarier le précédent. C’est le cas ici.


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